Philip Vander Elst

Oxford, UK

De l'athéisme au Christianisme: un voyage personnel

 

 

De l'athéisme au Christianisme: un voyage personnel

 

Est-il difficile pour vous de croire en Dieu ou d’accepter les revendications du Christianisme? C'était mon cas lorsque j'étais athéiste, mais j'ai changé ma pensée et mes raisons pourraient vous intéressé dans votre voyage personnel ou tentatives à donner du sens à votre vie.

Je suis un écrivain et professeur freelance. Depuis ma sortie de l'université d’Oxford en 1973 avec une licence en politique et philosophie, j'ai consacré la plupart de ma vie professionnelle à la politique et le journalisme avec un amour profond pour le monde des livres, des idées et des débats. Deux questions pertinentes m'ont toujours intéressé. Y a-t-il un Dieu? Et si oui, quelle est la connexion entre Dieu et la liberté?

Ayant grandit dans une famille païenne avec des parents dotés des dons intellectuels mais non-croyants, j'avais l'habitude de penser que croire en Dieu et au surnaturel avait été discrédité par le progrès de la science et par conséquent, était incompatible avec la liberté. Pour moi, la foi religieuse semblait impliquer une adoration aveugle du dictateur cosmique et l'abandon de la raison en faveur de la "révélation". En tout cas, pourquoi devrais-je prendre la religion au sérieux, j'ai pensé, alors que l'existence du mal et la souffrance discréditait clairement l'affirmation chrétienne que notre monde devait son existence au Créateur bienveillant?

Mon scepticisme ainsi que mon hostilité envers le Christianisme, ce qui s'est développé pendant mon adolescence sous l'influence des penseurs comme Ayn Rand et Bertrand Russell, s'est accru lorsque j'étais à l'université. Puis, à l'âge de 24 ans, j'ai rencontré ma future épouse qui était une chrétienne. Choqué par la découverte que cette femme belle et très intelligente était « l'un d'eux », j'ai décidé de chercher à savoir s'il y avait vraiment une bonne preuve sur l'existence de Dieu et la véracité du Christianisme, cependant, en établissant très clairement dès le début que je n'étais pas préparé à devenir un croyant juste pour solidifié notre relation.

   J'ai commencé à lire C.S. Lewis, ayant lu ses Chroniques de Narnia que j’avais tant aimé dans mon enfance. Je l'ai fait pour trois raisons. Premièrement, parce que lui-même avait été un athéiste et pouvait par conséquent répondre aux nombreuses questions et objections qui me préoccupaient. Deuxièmement, parce que je respectais son intellect. Voici un homme qui était sortie d’Oxford avec trois mentions très honorables en Classiques, Philosophie et Anglais et était devenu l'un des plus grand académiciens britannique de sa génération. S'il a pu faire le voyage de l'athéisme au Christianisme, alors j’avais surement tort de penser qu'il fallait enterrer ton cerveau pour croire en Dieu. Par ailleurs, et qui était la troisième raison pour laquelle j'étudiais ses livres, on ne pouvait pas accuser C.S Lewis d'être désinvolte ou superficiel au sujet de la souffrance.

Ayant perdu sa mère à l'âge de 10 ans, étant mecontent à l'école, et après subir les horreurs de la guerre des tranchées pendant la première guerre mondiale, il était surement très conscient du problème du mal. Son exposé de cet problème et des autres questions qui me préoccupaient seront surement, je le pense, instructif.

En effet, c'est effectivement ce qui s'est passé. En lisant les trois livres les plus importants de Lewis, Mere Christianity, Miracles et The Problem of Pain, je me suis retrouvé non seulement en train de suivre les pas de quelqu'un qui avait combattu avec toutes les questions qui me troublaient mais je découvrais des réponses intelligente et convaincante à tous mes doutes.

 

La question du mal par rapport à Dieu

Puis que mon père est décédé quand je n'avais que 17 ans, je trouvais que ce dont Lewis avait à dire à propos du mal était très pertinent. Comme il l'indique à juste titre, nous ne pouvons pas nous plaindre de l'existence du mal et de la souffrance, et les utilisés comme argument contre l'existence et la bonté de Dieu sauf si nous croyons que le standard du bien et du mal sur lequel nous nous basons pour juger et condamner notre monde est objectif. Notre sens de justice et d'équité devrait être un véritable aperçu de la réalité avant que se mettre en colère et être indigné au sujet de toute la douleur et l'injustice que nous voyons autours de nous sera justifié. Mais si c'est le cas, qu'est-ce qui explique l'existence de ce code moral ou boussole intérieur en nous? Selon l'athéisme, les êtres humains et tout leur processus de réflexion ne sont que le résultat accidentel du mouvement déraisonné des atomes dans un univers non intentionnel, aléatoire et sans but. Comment, donc, pouvons-nous donner un sens ou une vérité ultime à nos pensées et sentiments, y compris notre sens de justice? Sur ce point, ils n'ont pas plus de validité ni d'importance que le bruit du vent dans les arbres. De l'autre coté, si nous refusons d'accepter cette conclusion en insistant, par exemple, de manière objective que c'est toujours vrai que vous devez aimer vos voisins et ne pas torturer les enfants, nous sommes déjà éloigné de l'athéisme. Cette présence en nous d'une loi morale objective « écrit dans le cœur » démontre plutôt l'existence d'une Bonté et Intelligence éternelle qui nous a créés ainsi que notre univers, nous permet de penser et est la source éternelle de nos valeurs les plus profondes et les plus meilleures. En d'autres termes, Lewis avance que l'athéisme se contredit parce qu'il discrédite tout raisonnement humain, y compris les arguments de l'athéisme. « Si l'univers tout entier n'avait aucune signification, on ne l’aurait jamais su. De même, s'il n’y avait pas de lumière dans l'univers et aucune créature avec des yeux, nous n'aurons jamais su que c'était obscur. L’obscurité aurait été un mot sans signification » (Mere Christianity). Il conclut en avançant que c'est seulement en reconnaissant qu'il y a un Dieu que nous pourrions donner un sens à l'existence humain, au monde que nous habitons et paradoxalement, au problème du mal.

Mais si Dieu est la bonté personnifiée et alors, en tant que notre Créateur, la source divine de tout ce qui est bon, vrai et beau, pourquoi y a t-il beaucoup de mal et de souffrance? Qu'est-ce qui n'a pas fonctionné? Selon Lewis, la réponse chrétienne à cette question c'est que,  notre monde a été détruit par la rébellion contre Dieu. Une création qui était bonne à l'origine a été gâchée.

Si ceci est difficile à croire, considérez les preuves. Considérez tous les exemples qui existent de la conception bienveillante et complexe en Nature: l'instinct de nidification des oiseaux, la structure incroyablement complexe du cerveau humain, les systèmes de navigation des chauves-souris et baleines, le logiciel biologique de l'ADN dans chaque cellule de nos corps, la reproduction sexuelle, etc. Tout ceci vit cote à cote avec des virus dangereux, les maladies et la mort. Est-ce que son implication évidente peut-elle être ignorée? Considérez aussi l'importance des êtres humains possédant un code moral intérieur qu'ils ne peuvent pas s'en débarrasser mais semblent incapable d’obéir. Tout ceci ne suggère-t-il pas un processus de détérioration des débuts prometteur? N'est-il pas aussi important que bon nombres de personnes et cultures anciennes, y compris les chinois, ont une tradition d'un Paradis perdu dans un passé lointain et sombre?1

 

 

Explication convaincante de l'origine du mal

Pour donner mon opinion, je trouve cette preuve convaincante mais ce qui m'a persuadé de la véracité de l'explication chrétienne de l'origine du mal et de la souffrance c'est la crédibilité philosophique inhérente. Comme C.S Lewis le dit, le vrai amour c'est une union volontaire des individus libre qui s'adonnent l'un à l'autre mutuellement pour le bonheur, la jouissance de la vie et toutes ses bénédictions. Par conséquent, lorsque Dieu a crée les premiers êtres humains, Il leur a donnés le don du libre-arbitre. Il l'a fait afin qu'eux avec tous leurs descendants puissent partager Sa vie, Son amour, Sa joie et Sa beauté, avec Lui ainsi que les uns avec les autres. Comme faisant partie de ce don du libre-arbitre, Dieu a aussi donné aux êtres humains la créativité et l'intelligence afin qu'ils soient des bons serviteurs de ce monde dans lequel Il les avaient placé, partageant sa joie et ajoutant un plus à ses merveilles et sa beauté. Mais le problème avec le libre-arbitre c'est qu'il peut être corrompu ou mal utilisé. Notre liberté intérieure à avoir une relation avec Dieu et d’autres personnes dans l'harmonie et l'amour peut aussi bien être renversé. Nous pouvons plutôt choisir de rejeter notre Créateur et ne vivre que pour nous même. Malheureusement, c'est ce qui s'est produit avec la race humaine. C’est ce qui se cache derrière la fameuse histoire biblique de « La Chute de L'Homme » dans le jardin d'Eden. En effet, nos ancêtres ont désobéit à Dieu, et ont subi des conséquences mortelles ainsi que leur postérité.

Pour les raisons que j'ai déjà mentionnées, je n'ai aucun doute que « La Chute de l'Homme » était un véritable événement historique mais ce qui apporte la véracité à toute cette histoire c'est son image absolument convaincante des conséquences désastreuse qui surviennent lorsqu'on se détourne de Dieu. Selon Lewis, une créature qui se rebelle contre son Créateur est comme une plante qui refuse de pousser en direction du soleil. Le résultat c'est une relation brisée qui sépare cette créature de la source éternelle de vie, d’amour, de vérité et de bien-être, y compris Ses siens. C'est par conséquent inévitable car, lorsque la race humaine s'est séparée de Dieu par cet acte de désobéissance il y a de cela bien longtemps, la haine, la maladie et la mort sont entrés dans le monde. Certains créationnistes et théologiens scientifique croient que «La Chute de l'Homme» a détruit toute la création original et parfaite de Dieu (tel que décrit dans le livre de Genèse), et a introduit la mort et le désordre dans le royaume animal et le monde naturel. D'autres avancent qu'avant la « Chute de l'Homme », l'environnement naturel avait déjà été détruit par la rébellion contre Dieu dans le monde angélique.  Quel qu’en soit ce que vous pensez à propos de tout ceci, une chose semble claire et me parait sensé: la séparation de notre Créateur est une auto destruction inévitable.

En effet, c'est une auto destruction inévitable non seulement parce que le résultat c'est la mort mais aussi parce que cela détruit la liberté. En dehors de Dieu, nous manquons la force intérieure nécessaire pour résister aux désirs ardents de nos natures déchues. Sans Son aide, nous ne pouvons pas vaincre toutes les tentations qui se présentent à nous pour nous livrer à nos impulsions les plus bas et poursuivre nos propres intérêts aux dépens des autres. En plus, si la réduction de notre liberté intérieure est accompagnée, comme c'est le cas avec plusieurs vies, par une incrédulité positive, un nouveau danger se présente. Nous perdons notre sens de comptabilité et croyance en des absolus moraux parce que nous ne croyons plus qu'il existe un Juge Divin à qui nous sommes totalement responsables. Voici l'une des raisons pour lesquelles les régimes socialistes ouvertement athées ont produit les tyrannies les plus sanglantes de l'histoire, abattant 100 millions de personnes dans la répression interne au cours du 20e siècle2.  Il contribue également à expliquer la croissance de la criminalité, la délinquance et l'immoralité sexuelle dans les sociétés occidentales sécularisées postchrétiennes.

Si la race humaine s'est éloignée de Dieu à cause du péché, quelle a été la réponse de Dieu? Nous a-t-Il abandonné ainsi que toute Sa création à la corruption et la mort? Au contraire. Tout le reste de la Bible après le troisième chapitre de Genèse décrit le plan de secours de Dieu. Et au cœur de ce plan de secours de Dieu se trouve l'événement le plus grand et le plus extraordinaire de l'histoire: l'histoire incroyable mais vraie de Dieu qui descend dans notre monde pour vivre et marcher parmi nous en tant qu'être humain -  comme un menuisier juif du premier siècle venant de Nazareth, appelé Jésus.

Avant que je ne commence à lire C.S. Lewis, j'avais rejeté toute l'idée comme étant une fable absurde. Même si Jésus avait vraiment existé, comment quelqu'un pouvait-il croire qu'Il avait opérer tous ces miracles enregistrés dans le Nouveau Testament ? Est-ce que le progrès de la science n'avait-il pas révélé que notre univers est un cosmos magnifiquement ordonné par les lois physiques qui ne peuvent être brisées, mais qui peuvent être décrite dans la langue précise des mathématiques? Les lois de la physique et de la chimie n'ont-elles pas éliminé la possibilité d'un homme pouvant marcher sur l'eau ou revenir d'entre les morts, comme c'était le cas avec Jésus? Et comment quelqu'un pouvait-il croire que Jésus avait jadis changé plusieurs pots d'eau en vin lors d'un festin de noces, ou nourri cinq milles personnes avec seulement cinq pains et deux poissons? Je pensais que l'on ne pouvait que croire à ces histoires si tu étais scientifiquement analphabète, comme tout le monde l'était clairement à l'époque ancienne. Par ailleurs, je me suis demandé comment la mort de Jésus sur une croix romaine pouvait nous « sauvé » de nos péchés et nous réconcilié avec Dieu? Personne ne m’avait jamais expliqué ce mystère.

 

Revoir mes objections par rapport au surnaturel et aux miracles

Une fois de plus, cependant, les écrits de Lewis m'ont forcé à revoir mes objections par rapport au Christianisme et aux revendications historiques au sujet de Jésus sur lequel c'est fondé. Comme il le dit clairement dans son livre remarquable, Miracles, vous ne pouvez pas exclure le surnaturel sur des bases scientifique sans d’abord éluder la question de l'existence de Dieu. Par définition, l’athéisme renie le surnaturel, mais si l'athéisme est fausse et Dieu existe, qui peut dire que Dieu n'est pas capable d'intervenir dans Sa création? Si un acteur humain peut changer la fin d'une de ses pièces de théâtre ou roman par un coup de clavier, alors surement, le Créateur à l'image de qui nous sommes crées peut changer l'environnement naturel, renverser la progression d'une maladie, ou vaincre la mort de manière « miraculeuse ». Dans tout les cas, selon Lewis, l'idée générale que ce n’est pas scientifique de croire en Dieu et par conséquent en la possibilité des miracles est une erreur historique et philosophique. La science moderne doit son origine à la religion monothéiste. Pour citer Lewis: « Les hommes sont devenus des scientifiques parce qu'ils espéraient voir la loi en nature et ils espéraient voir la loi en nature parce qu'ils croyaient en un législateur » (Miracles). C'est la raison pour laquelle la plupart des illustres pères fondateurs de la science moderne croyaient en Dieu et étaient des chrétiens qui prenaient la Bible au sérieux. Pour ne citer que quelque uns ainsi que les disciplines scientifiques qu'ils ont établit, ils comprennent: Galileo et Kepler (astronomie), Pascal (hydrostatique), Boyle (chimie), Newton (calcul), Linnaeus (biologie systématique), Faraday (électromagnétique), Cuvier (anatomie comparative), Kelvin (thermodynamique), Lister (chirurgie antiseptique), et Mendel (génétique). Tous ces hommes croyaient en un univers ordonné et en la possibilité de découvrir son fonctionnement parce qu'ils étaient convaincus que la preuve d'une conception intelligente indiquait l'existence d'un Créateur Intelligent. Comme Kepler l'a dit au 17e siècle: « L'objectif principal de tout investigation du monde externe devrait être la découverte de l'ordre rationnel qui lui a été imposé par Dieu et qu'Il nous a révélé dans une langue de mathématiques ».

Lewis ne m'a pas seulement persuadé qu'il n y avait pas de raison de ne pas croire aux miracles et au surnaturel en se basant sur des motifs scientifiques. Il a également mentionné l'absurdité d’attribuer toute croyance en des miracles à l'ignorance des lois naturelles révélée par la science. Les contemporains de Jésus en Palestine du premier siècle ont surement du manqué la connaissance des physiciens moderne, mais étaient parfaitement au courant que Sa naissance d'une femme vierge ou Sa guérison instantanée des lépreux étaient des événements qui allaient à l’encontre du cours normal de la nature, sinon, ils ne l'auront jamais considéré comme des miracles. Joseph, comme l'Evangile de Matthieu nous le dit, était décidé à rompre ses fiançailles avec Marie précisément  parce qu'il savait, comme vous et moi,  que les femmes ne deviennent pas souvent enceintes sans avoir des rapports sexuels avec un homme. De même, comme l'Evangile de Jean nous le dit, « L'incrédule Thomas » a d'abord refusé de croire au rapport des autres disciples stipulant que Jésus était sorti du tombeau, puisqu'il savait, comme tout athée moderne, que les victimes d'une crucifixion romaine ne revenaient normalement pas d'entre les morts. C'est par conséquent irrationnel de rejeter tous rapports de miracles comme étant le témoignage aléatoire des témoins crédules. Vous devez examiner les preuves pour eux avec une pensée ouverte.

Si, pour répondre à ce défi, nous considérons avec une pensée ouverte les récits du Nouveau Testament sur les miracles de Jésus, selon Lewis, nous faisons face à un fait intéressant et significatif. Au lieu d'y trouver des contes de fées - des animaux qui parlent ou des grenouilles devenant des princes -  nous sommes confrontés à quelque chose de bien plus rationnelle et croyable. Ce que nous voyons dans la plupart des miracles de Jésus c'est ce que Dieu fait dans le monde naturel en tant que son Créateur, mais localisé et accéléré. Par conséquent, chaque année par exemple, des petits semis créés par Dieu grandissent en des vastes champs de blé et des milliers de pains. Le même processus de multiplication s'est produit lorsque Jésus a nourrit cinq milles personnes mais localisé et accéléré. De même, Dieu change toujours l'eau en vin par l'action du soleil et la pluie sur le fruit de la vine et par l'implication des êtres humains dans tous les étapes de vinification. Lors des noces de Cana (dans l'Evangile de Jean), Jésus, comme l'incarnation de Dieu le Créateur, a aussi changé l'eau en vin, mais ici encore le processus de conversion est localisé et accéléré. Les mêmes parallèles s'appliquent aux miracles de guérison de Jésus. Les êtres humains créé par Dieu sont constamment en train d'être guérit des maladies à travers la stimulation médicale de leur systèmes corporel immuniser par Dieu. Alors, quand Jésus a aidé les lépreux avec une touche de Sa main ou une parole de commande, nous voyons encore Dieu le Guérisseur à l'œuvre, mais localisé et accéléré, comme l'homme face à l'homme dans l'ancien Palestine. En d'autres termes, dit Lewis, le but des miracles de Jésus n'était pas seulement pour prouver l'amour de Dieu envers l'humanité mais pour révéler au peuple autour de Lui (et à nous) la présence de leur Créateur et Sauveur parmi eux.

En plus de me convaincre que le caractère raisonnable des miracles de Jésus  dans le Nouveau Testament est inhérent, les écrits de Lewis m'ont également aidé à comprendre pourquoi le concept chrétien de Dieu comme une union de trois personnes  dans la Divinité (la Trinité) était logique, et la raison pour laquelle « Dieu le Fils », la deuxième personne de la Trinité devait descendre dans notre monde comme Jésus afin de « mourir pour nos péchés » et vaincre la mort pour notre compte.

Comme Lewis l'explique dans son livre le plus lu, Mere Christianity, Dieu est l'amour personnifié puis que comme notre Créateur, Il est la source divine et l'origine de tous l'amour humain (et animal). Puisque l'amour comprend des relations entre des personnes, nous ne devons pas être étonnés de découvrir que Dieu, dans Son Etre, est une union d'amour de trois personnes distinctes - décrite dans le Nouveau Testament comme le « Père », « le Fils », et le « Saint Esprit ». En effet, il est vrai que cette révélation pourrait paraitre étonnant et étrange mais ne parait pas démesuré une fois qu'on y prête attention. La même chose s'applique à la notion visiblement embarrassante et contradictoire de l'unité dans la diversité. Comment Dieu peut-Il être une union de « trois-en-un »? Eh bien, dit Lewis, ce qui parait être une impossibilité dans notre dimension de l'être n'est pas nécessairement une impossibilité dans la dimension de l'Etre de Dieu. Pour utiliser son analogie qui est très utile, vous ne pouvez pas imaginer une union de six carrés séparés dans un monde à deux dimensions, mais vous pouvez imaginer un cube dans un monde à trois dimensions. Alors, tel qu'un seul cube est un corps constitué de six carrés séparés, Dieu est une Etre constitué de trois personnes séparées. Une fois de plus, cette révélation peut être un choque mais ne semble pas démesuré. Et, selon Lewis, voici une autre raison pour laquelle le Christianisme a cette « élément de vérité » étrange. Cela nous donne une information sur Dieu que personne n'aurait pu imaginer créer, mais semble toujours être logique. Cela implique un mystère sur Dieu qui va au-delà de notre compréhension humaine mais pas contre elle. C’est ce que nous devons espérer s'il y a un Dieu.

A ce point, je dois insister que le concept chrétien de la nature trinitaire de Dieu n'est pas quelque chose que les théologiens chrétien ont simplement inventés plusieurs décennies après la mort et la résurrection de Jésus. Cela est apparu rapidement et naturellement quand les premiers disciples et adeptes de Jésus ont compris les implications logiques de Sa vie et enseignements et se sont penchés sur Sa relation et Son union avec Son « Père ». Et puisque l'amour était et est au cœur de cette relation, et explique pourquoi Dieu a créé l'univers et nous a donné le don de la vie, ca nous donne aussi la raison pour laquelle Son plan de secours pour la race humaine a nécessité Sa venu dans notre monde comme un être humain, et Sa mort cruel sous Ponce Pilate.

 

Nous sommes aliéné de notre Créateur

Comme Lewis le dit dans Mere Christianity, la difficulté que nous avons en tant qu’êtres humains déchues, que nous le réalisons ou pas, c'est que nous sommes aliénés de notre Créateur parce que l'imperfection morale que nous avons hérités de nos ancêtres rebelles - nos mauvaises pensées et motifs ainsi que notre mauvais comportement - nous sépare inévitablement de Dieu. Ceci parait injuste, extrême et difficile à croire, puisque nous sommes  habitués à être un mélange du bien et du mal (« personnes n'est parfaite » selon un adage), et dans notre état déchue, nous ne pouvons que être des êtres imparfait. Mais le problème qui se pose c'est que notre Dieu Créateur n'est pas seulement Amour, mais Bonté et Justice personnifié, et par conséquent infiniment « saint » - pour utiliser le langage de la Bible. Ceci veut dire qu'Il ne peut pas ignorer nos faiblesses morales et s'unir à nous dans l'amour, puis que Son caractère parfait est repoussé par notre état de péché. Sa justice exige que la race humaine subisse toutes les conséquences destructives parce que nous nous sommes éloignés de Lui et avons défié Sa volonté. Personnellement, peut-être nous n’étions pas des rebelles contre Dieu à l'aube de l'histoire mais comme tous les êtres humains à cette époque, nous avons été moralement et spirituellement abimé par la rupture de cette corde ombilicale entre Dieu et l'homme qui existait dans le jardin d'Eden. L'amour, la bonté et la joie de Dieu ne peu plus couler librement à travers nous parce que notre nature humaine a été corrompue et nous sommes devenus des vases brisées qui ne peuvent plus retenir l'eau de la vie divine. C'est-à-dire, visualiser notre situation à partir du point de vue de Dieu. Si nous l'examinons du point de vue de notre perspective humaine, le problème n'est pas simple. Afin d'être réconcilié avec Dieu, la dette de nos fautes doit être payée mais nous sommes moralement et spirituellement fauchés. La réconciliation avec Dieu nécessite aussi la repentance parfaite, mais il faut une bonne personne pour se repentir puis que la repentance ne comprend pas seulement un acte d’humilité et demander pardon a Dieu, mais aussi Lui abandonner nos vies. Si nous voulons nous reconnecter avec notre Créateur, nous devons abandonner notre égoïsme mais le problème qui se pose c'est, plus nous devenons plus pire et plus orgueilleux, le plus difficile ça devient pour nous de le faire.

Au vue de ce dilemme, que devait faire Dieu pour le résoudre? Comment pouvait-Il réconcilier Sa justice avec Sa miséricorde? Comment pouvait-Il sauver les êtres humains qu'Il avait créés avec amour  des conséquences qu'ils avaient amené sur eux par l'abus de leur libre-arbitre? En d'autres termes, comment Dieu pouvait-Il nous sauvé de la mort et la séparation de Lui pour l'éternité? Et soyons claire sur l'implication de ceci même si c'est  bouleversant. Etre séparer de Dieu pour l'éternité signifie être séparer de la source de vie, d'amour, de joie, de vérité et de beauté de manière consciente et pour toujours. C'est un sort terrible dont Jésus en a parlé avec horreur dans le Evangiles, mais c'est ce que nous risquons tous si nous refusons d'accepter le plan de secours de Dieu pour nous. Alors, quel est le plan de secours de Dieu? Comment pouvons-nous être reconnectés à notre Créateur?

Selon Lewis, Dieu pouvait seulement nous aider en devenant un être humain et en mourant pour nous, car ce n'est qu'en le faisant qu'Il pouvait nous permettre de traverser le processus qui consistait à mourir au moi, sans lequel la vraie repentance et la reconnexion avec Lui était impossible. De même que nous sommes capables de penser parce que Dieu a créé nos pensées et nourrit notre intelligence, alors, selon Lewis, nous pouvons à présent nous repentir de nos péchés et nous livrés à Dieu. En effet, la capacité à mourir au moi fait parti à présent de la nature divine de Dieu en Jésus et peut par conséquent nous être communiqué à travers notre union avec Lui. Si nous le voulons, notre capacité à être réunit avec Dieu a aussi été gagner pour nous par Jésus parce que, en tant que Homme et par conséquent notre représentant, Sa mort sur la croix a payé la dette que le péché humain devait à la justice de Dieu. Tout comme un juge qui impose une amende sur son fils coupable puis ôte sa robe de juge et paye l'amende lui-même, de même Jésus, l'Incarnation de Dieu le Fils, a subit le châtiment du péché à notre place. Mais puis qu'Il était et est divin ainsi qu'humain, Il a vaincu la mort et est sorti du tombeau pour nous, ayant déchiré le voile qui séparait les êtres humains déchues de leur Créateur. Voila ce que signifie l'Expiation et la Résurrection.

 

Preuve interne de la véracité du Nouveau Testament

Persuader par Lewis du caractère raisonnable du message chrétien, j'ai alors examiné la preuve de la véracité historique de l'Evangile dans le Nouveau Testament. Et une fois de plus, un examen minutieux des faits m'a obligé à abandonner mes anciens préjudices pour accepter le Christianisme. La première chose que j'ai remarqué c'était la preuve interne de la véracité des récits de l'Evangile. Loin d'être une propagande intéressée, les Evangiles enregistrent fidèlement les faiblesses et défauts des disciples de Jésus, y compris leur incapacité fréquente à comprendre ce dont Il parle. Pierre, pour citer l'exemple célèbre, a refusé de croire Jésus lorsqu'Il lui a averti de Son arrestation et Son exécution imminente et a été fermement réprimander. Plus tard, pendant la Sainte Cène, il a juré de ne jamais abandonner Jésus même si tous les disciples le faisaient, mais plus tard il l’a fait, reniant toute connexion avec Lui dans la cours de la maison du Grand Sacrificateur après l'arrestation de Jésus dans le Jardin de Gethsémani. Les autres disciples sont aussi présentés de manières négatives. Un jour, ils sont présentés en train de se quereller sur qui parmi eux occupera la plus haute position dans le Royaume Messianique de Jésus. D'autres fois, ils (comme Pierre) sont présentés comme étant soit réticent ou incapable d'accepter les enseignements de Jésus qu'Il, le Messie, doit souffrir et mourir « en rançon pour plusieurs ». Pas étonnant, ils ont aussi abandonné Jésus au moment des crises suprêmes dans le Jardin de Gethsémani. Et plus important encore, tous les disciples ont été surprise de la résurrection en dépit du fait que Jésus leur avaient informés à l'avance, avant son arrestation, qu'IL reviendrait d'entre les morts. En effet, ce fait, refléter par leur lenteur à accepter le témoignage de leur femmes et la preuve de leur yeux, appui considérablement la véracité et la fiabilité des Evangiles dans l'ensemble et de la réalité de la Résurrection. Enfin, ceci m'amène aux deux raisons les plus convaincante et impérieuse pour croire à la vérité du message chrétien et l'histoire sur laquelle elle est basée: le fait indéniable de la Tombe Vide, et la suite de la carrière et martyrs des disciples les plus proches de Jésus.

Comme Frank Morison (à l'origine un sceptique) à écrit depuis bien longtemps dans son livre éclairant Who Moved The Stone?,  aucun des ennemis de Jésus et opposants de l'Eglise Chrétienne de la nouvelle naissance ne pouvait refuser la disparition du cadavre de Jésus de la tombe dans laquelle Il avait été enterré par Joseph d'Arimathie. Ayant tous les motivations religieuse et politique pour le faire, ni les autorités religieuses juives qui l'on condamné ou les Romains qui l'on crucifié n'était capable de produire le cadavre de Jésus et en le faisant, transformer la prédication des disciples sur Sa résurrection en mensonge. Mais s'ils l'avaient fait, le Christianisme aurait subi une mort instantanée. Mais ils ne l'ont pas fait parce qu'ils ne le pouvaient pas. Deuxièmement, seul le fait de la Résurrection et la rencontre des disciples avec le Jésus Ressusciter peuvent expliquer de manière adéquate le changement qui s'est produit en eux ainsi que leurs carrières qui ont suivi. Ayant été un groupe d'hommes effrayés, au cœur brisé et démoralisé, ils sont sorti de leur cachette et sont devenus une bande de missionnaires joyeux et héroïque, proclamant avec hardiesse et sans crainte l'évangile Chrétien, au milieu de la persécution et la souffrance. De plus, tous sauf Jean ont souffert éventuellement d'un martyr douloureux pour l'avoir fait. Trois d'entre eux, Pierre y compris,  ont été crucifié; deux ont été lapidé; deux ont été décapité; Thomas a été tué par une lance en Inde; Philippe a été pendu sur un pilier en Phrygie; un autre disciple a reçu un coup de flèches, et Barthelemy (Nathaniel) a été battu à mort en Arménie. Il se peut que, si les disciples avaient volés le cadavre de Jésus (comme leurs ennemis prétendaient), auraient-ils pu endurer tout cela pour un mensonge? En tout cas, est-ce une vraisemblance psychologique de croire que ces hommes, anéanti émotionnellement  par l'arrestation et la crucifixion de Jésus, aurait pu avoir la volonté, la motivation, la force ou le courage d’essayer de voler son cadavre sous le nez des soldats qui gardaient Sa tombe?

Mon ancien scepticisme sur la Résurrection a été plus défié par le fait indéniable et très significatif que St Paul, le « Grand Apôtre des Païens » avait été à l'origine l'opposant et le persécuteur le plus féroce de l'Eglise Primitive. Voici un homme qui avait été convaincu de manière passionnée que les revendications chrétiennes à propos de Jésus étaient un blasphème dangereux et ceux qui les croyaient méritaient l'emprisonnement, le fouet et la mort. Puis, soudainement, ce même homme a changé à cent quatre-vingt degré et est devenu le plus grand évangéliste de L'Eglise Chrétienne débutante ayant le plus voyagé, une transformation qui a commencé pendant un voyage missionnaire à la recherche de l'hérésie antichrétien. Quoi de plus, autre que la rencontre qu’il a eu avec Jésus (le Ressuscité) sur la route de Damase, aurait pu expliquer la conversion dramatique de Paul. Cette conclusion est plus renforcée par la référence révélatrice dans l'une des lettres pastorale de Paul aux différents témoins à qui Jésus est apparut après Sa résurrection, la plupart dont Paul avait déclaré étaient encore vivant quand il écrivait. (Voir: (1 Corinthiens 15: 3-10).

Aurait-il pu oser dire tout ceci, défiant les sceptiques de manière implicite à interroger ces témoins vivant, si Jésus n'était pas ressusciter d'entre les morts? Et aurait-il, comme les autres apôtres, endurer les coups de fouets, l'emprisonnement, être lapidé par une foule hostile et éventuellement la décapitation, pour un message qu'il savait était faux?

Plus je réfléchissais sur ces points, plus je devenais convaincu que la preuve interne de la fiabilité des Evangiles et du Nouveau Testament dans son ensemble était extrêmement réjouissant. Hormis toute autre considération, l'image de Jésus qu'ils ont présentés était si saisissante et incontestable. Dans ses pages vous Le voyez en train de défier les puissants, réconfortant les pauvres, exposant les hypocrites, et guérissant les malades et les cœurs brisés.

Il traite les femmes comme des égaux et use de tendresse envers les enfants. Et plus frappant encore, lorsque Jésus parle de Son statut divin (« Celui qui M'a vu a vu le Père »), Il ne transmet aucune impression de folie ou mégalomanie. Au contraire, Ses paroles semblent porter autorité, et Ses ennemis ne sont jamais capables de se montrer plus malin que Lui. En effet, ils ne refusent pas la réalité de Ses miracles, mais l'attribuent à la sorcellerie. Je me suis dit que si Dieu est descendu dans notre monde et a vécu et marcher parmi nous en tant qu'être humain, alors Jésus était surement cette Homme.

 

Preuve externe de la véracité des Evangiles

Finalement, la dernière goutte d'eau qui a fait déborder le vase de mon ancien athéisme c'est lorsque j'ai réalisé qu'il y avait une très bonne preuve externe pour l'authenticité et la véracité des Evangiles. Il existe d'abord des références corroborant de l'existence et l'exécution de Jésus dans les écrits des historiens Romains comme Suétone et Tacite ainsi que dans celles de l’historien du premier siècle, Thalle. Il existe aussi des preuves similaires corroborant avec certains des détails de la vie et la mort de Jésus dans d'autres sources non-chrétienne comme le Talmud juif.  Pour en citer un, l'historien juif du premier siècle, Josephus, écrivant en 93 après la mort de Jésus a dit: « A cette époque [au temps de Pilate], il y avait un homme sage du nom de Jésus. Il avait bonne conduite et (il) avait un caractère vertueux. Et bon nombres de personnes parmi les juifs et d'autres nations sont devenus ses disciples. Pilate l'a condamné à être crucifié et à la mort. Mais ceux qui étaient devenus ses disciples n'ont pas abandonné son disciplelat. Ils ont dit qu'Il est apparu trois jours après sa crucifixion, et qu'il était vivant. Par conséquent, il était peut être le Messie, dont les prophètes ont racontés des merveilles » (Antiquities of the Jews).

En plus, la preuve manuscrite de l'authenticité et la fiabilité des textes de l'Evangile est plus ancien et plus beaucoup que celui de tout autre document des temps anciens. En particulier, la fiabilité historique de l'Evangile de Luc et ce qui suit, les Actes des Apôtres, qui est plein de détails politiques, médicaux, culturels et topographiques, est confirmé par plusieurs preuves archéologique, ainsi que plusieurs preuves documentaire venant des sources non-Chrétiennes. Par exemple, selon l'historien et l'érudit classique, Colin Hemer, dans son étude, The Book of Acts in the Setting of Hellenistic History, 84 faits séparés dans les dernières treize chapitres des Actes des Apôtres ont été confirmé par la recherche archéologique et historique.

Alors, confronté par tous ces faits et arguments - philosophique, scientifique et historique - j'ai abandonné mon épée d'incrédulité à Dieu, et demandé à Jésus de pardonner mes péchés et d'entrer dans ma vie pendant la chaleur de l'été sec de 1976. Pendant les années qui ont suivi, je n'ai jamais regretté cette décision, en dépit de mes plusieurs hauts et bas ainsi que les épreuves de ma foi. A travers la prière, l'adoration et la compagnie d'autres chrétiens, je pense que j'ai commencé à mieux connaitre Jésus personnellement et comprendre quelque chose sur la largeur, la hauteur et la profondeur de Son amour pour moi et pour toute Sa création. Si, alors, mon voyage de l'athéisme à la foi a aidé à vous persuadé de la véracité du Christianisme, je ne peux qu'espérer et prier que vous aussi vous expérimentez la joie de la reconnexion avec votre Créateur en demandant à Jésus de pardonner vos péchés et d'entrer dans votre vie. Il vous aime et attend seulement que vous fassiez le premier pas.

D'autre part, si vous n'êtes pas encore convaincu par mon témoignage mais désirez explorer d'avantage ces questions, je vous invite à lire I Don’t Have Enough Faith to be an Atheist, par Norman L. Geisler et Franck  Turek, (Crossway, USA, 2004). C'est un livre bien lisible mais savant qui démontre, avec des grands détails très intéressant, les preuves philosophique et scientifique sur l'existence de Dieu, ainsi que les preuves historiques et archéologique de la fiabilité et la véracité du Nouveau Testament.

Procurez-vous en un et voyez s'il peut résoudre vos doutes ou répondre à vos objections et questions.                            

(Translated by http://www.christian -translation.com)

 

Philip Vander Elst (copyright)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1 Pour plus d'informations, voir: Henry Morris, The Long War Against God, (Baker Books, USA, 1997), pp.291-296; aussi: Nelson, Broadberry & Chock, God’s Promise to the Chinese, (Read Books, USA, 1997).

2 Pour une estimation détaillée du cout humain du Communisme, voir: Stéphane Courtois, etc, Le livre noir du communisme,(Editions Robert Laffont, Paris, 1997), et les chapitres important dans: R.J. Rummel, Death By Government, (Transaction Publishers, USA, 1996).

 

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