J’ai rencontré Dieu suite à une Expérience de Mort Imminente
Douce enfance
Je m'appelle Damien, et je suis né en 1989, dans l'Ouest de la France à Angers. J'appartenais à cette génération à qui tout semble offert, avec la technologie florissante et sa révolution internet. J'étais dès le départ dans un monde de merveilles, on peut même dire que je suis né à Disney Land où mes deux parents travaillaient à l'ouverture du parc d'attraction. J'ai été bercé dans les films de Walt Disney. Je suis né dans une famille athée, et les chiens ne faisant pas des chats, je suis donc devenu athée par défaut. La notion de Dieu était absente de mon cercle de vie. Cela dit, très vite, dès l'âge 7 ans, j'ai le souvenir de comprendre le monde qui m'entoure. Ce monde de mensonge qui cache la misère à tous les étages, chacun cherchant son propre intérêt. Durant ma jeunesse, des expériences ont tourmenté mes convictions spirituelles, comme la guérison d'une brûlure à l’œil de ma mère par une « coupeuse de feu ». Ou encore une voyante qui avait vu juste concernant la naissance de ma sœur et de mes deux frères jumeaux et, plus encore, mon expérience de « somnambulisme » vers l'âge de 12 ans. Je me souviens d'une présence malfaisante venant m'envahir la nuit, mais ce somnambulisme sera de courte durée et réglé par un vieux monsieur « guérisseur » et son « don du sang ». Voyez-vous, j'avais tant de questions sans réponses… Avec une tendance plutôt rationnelle, j'imaginais dans mon jeune esprit que tout pouvait s'expliquer par la logique et la science humaine… Alors que dire de toutes ces expériences ? J'ai fini par conclure que c'était de la superstition mêlée à un effet placebo. Rien de plus.
La vallée de la mort
Mon adolescence fut le commencement des calvaires, les maladies frappant à ma porte, entre mes problèmes d'asthme et de dysplasie (hanche fragile). L’année de mes 16 ans sera celle qui a le plus marqué ma vie par la première blessure profonde du cœur : la mort brutale de mon père en 2006. Il n'avait que la quarantaine. La famille toute entière était en deuil et moi, particulièrement perdu. Comment, si Dieu existe, pouvait-il laisser mourir un père aimant ?! Une haine profonde s’installa en moi qui irradiait peu à peu toutes mes relations sociales.
Je m'entends encore dire :
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Ceux qui croient en Dieu sont des imbéciles, il est évident qu'il n'y a rien après la mort.
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Des amis ? Je n'ai pas le temps : ne voyez-vous pas qu'il m'est compté ? D'abord moi et vous après.
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Et Dieu alors ? Qu'il aille se faire voir. (Version soft, pour ne pas rapporter les extrêmes grossièretés que je pouvais formuler envers lui ).
Voilà à quoi se limitaient mes réflexions : si tu étais trop bête pour être croyant c'est que l'évolution avait raté une étape dans ta lignée. Point final. À 18 ans, l'alcool et les soirées étudiantes remplissaient mon emploi du temps. Mais je sentais, d'année en année, que ma santé déclinait, l'asthme devenait de plus en plus gênant. À 23 ans, la mort frappait déjà à ma porte. Mais ce que je ne savais pas encore, c'est que la grâce n'est pas loin des âmes brisées. Dieu merci !
La Rencontre
Suite à de multiples asphyxies et étouffements liés à l'asthme, en plus d'une grippe et d'un traitement qui a provoqué des œdèmes de Quincke, j'ai frôlé la mort et je me suis senti partir… Ensuite, j'avais peur de m'étouffer dans mon sommeil pendant plus d'une semaine. Une terrible fatigue s'en suivit. Je pensais réellement que je n'en avais plus pour longtemps. La vie est si fragile, deux minutes suffisent pour retourner à la poussière. Une nuit, à bout de souffle, j'ai parlé à Dieu pour la première fois dans mes pensées : « Si au moins toi tu existes, viens m'aider » sur un ton mêlé de désespoir et de mépris envers Dieu. Et pourtant, il m'a répondu et m'a vite fait comprendre que les traitements contre l'asthme et la grippe aggravaient mon cas. J'ai tout arrêté, et en parallèle, j'ai réformé mon alimentation (je suis issu de la génération fast food). Une détoxification du corps eut lieu, je crachais mes tripes jusqu’à remplir des bassines entières de sang durant les nuits. Après sept nuits ainsi, j'étais guéri. Mes douze ans d'asthme avaient disparu. Ma santé avait fait peau neuve. Il me fallut encore deux années pour apprendre lentement que ce Dieu qui répondait à mes prières était lié à Jésus. Qui était donc ce « Jésus » ? Ce Dieu que je priais de plus en plus me dirigeait toujours vers la Bible de multiples manières. Je finis par lire les Évangiles et très vite l'idée du péché et de la repentance germaient dans mon esprit : En priant, je luis dis : « Si tu es Dieu comme je crois le comprendre, je te demande pardon. Mais viens à moi j'ai besoin d'une réelle rencontre, sinon c'est du pipeau. » Au début de l'été 2015, la Lumière et la Vie est entrée dans mon cœur. Je savais que je savais.
En 2016, je me suis fait baptiser, suite à quoi Jésus me donna cette mission : « Publie ma Gloire »
Il ne vous coûte rien de vous tourner vers Jésus, au contraire, il y a tout à gagner.
Damien