Issu d’une famille d’ouvriers modestes, j’ai commencé ma vie en entrant à l’école militaire de mon pays, la Belgique. Et je suis ainsi devenu le plus jeune officier belge. J’ai fait partie d’une unité d’infanterie d’élite jusqu’au jour où j’ai arrêté de jouer à John Wayne. Toute ma vie, j’ai pratiqué le sport sous diverses formes : football, course à pied, volley-ball, sports de combat, ski. Et ma situation médicale était examinée une fois par an. J’étais en effet pilote privé d’avion, ce qui m’imposait un contrôle physique tous les ans de 1978 à 1989.

Ma santé était excellente. J’avais bien un grave problème de cholestérol sous forme endogène, c’est-à-dire non lié à mes habitudes de manger ou de boire et il avait été traité par une opération qui a consisté à m’installer 5 pontages sur les artères coronaires en 1989. Les médicaments m’avaient ramené à un équilibre très satisfaisant.

J’ai alors repris toutes mes activités physiques, à l’exception de l’aviation. Je courais deux fois par semaine des distances de 5 à 15 km. En 2006, mon cœur battait autour de 60 et ma tension était invariablement à 12/7.

Le 5 mai 2006, j’ai été victime d’un terrible AVC qui m’a laissé 51 jours dans le coma et plusieurs semaines en mort cérébrale. J’avais 56 ans.

On m’a alors transféré à l’hôpital de Chimay en Belgique, mais les médecins après deux heures d’examen ont renoncé à traiter mon cas. Pour eux, il n’y avait déjà plus aucune chance que je revienne à la vie. J’étais déjà aveugle et tétraplégique (paralysé des 4 membres).

Ils ont quand même décidé de me transférer à l’hôpital civil de Charleroi, à 65 km de Chimay. Arrivé là-bas, on m’a fait une trachéotomie, et trois trépanations. Après 46 jours, les médecins ont demandé à mes proches l’autorisation de me débrancher, car j’étais en mort cérébrale depuis plusieurs semaines et il n’y avait plus aucun espoir. Et surtout, depuis plusieurs semaines, j’étais en mort cérébrale. Les électro-encéphalogrammes réalisés étaient invariablement plats. La famille a refusé et contre toute attente, je suis revenu à la vie après 51 jours. Certes, j’avais perdu les goûts, je souffrais d’une diplopie de 30 degrés, j’avais perdu 55 kilos, étant passé de 103 à 48 kg (pour 1.93 m), ma mémoire semblait gravement affectée, mais j’étais vivant.

A la sortie du coma, inexplicable médicalement, les médecins m’ont découvert une quarantaine de cavernums, sorte de tumeurs au cerveau. J’ai alors été transféré aux Cliniques Universitaires Saint-Luc à Bruxelles qui a bien constaté la présence des cavernums. Mais ceux-ci ont disparu en 4 jours, ce qui selon le neurophysiologiste en exercice en 2006 confinait au paranormal !!! C’est par ces deux miracles invraisemblables et incontestés par six médecins que je suis revenu de ma balade de l’autre côté du miroir.

Cependant, un troisième miracle m’a alors véritablement transformé : l’homme d’affaires attaché à ce monde et à l’argent s’est mué en un missionnaire attaché à Jésus-Christ.

Pendant 35 ans, j’avais été dans le business et j’y avais connu une certaine réussite. Peu de choses avaient plus d’importance que mes activités professionnelles, même pas ma femme et mes enfants. Cet accident a transformé entièrement le matérialiste et l’égoïste que j’étais.

Mes nouvelles activités consistent en voyages en Europe, Canada, Etats-Unis, Afrique, Brésil tout au long de l’année pour partager ces miracles que Jésus a accomplis en ma faveur.

Il m’incombe de respecter la Parole biblique : Je suis devenu un ouvrier pour la moisson (Matthieu 9:38)

Mon but est que le monde comprenne que ce Dieu existe, qu’il a envoyé Son Fils Jésus racheter tous les pécheurs que nous sommes par le sacrifice de sa vie et au prix de son sang. Comme Paul, je ne veux prêcher que Jésus et la folie de la croix !

Avec des amis chrétiens, j’ai donc réalisé des livres, des DVD, et des CD qui s’avèrent d’extraordinaires outils d’évangélisation.

Dans mon dernier livre, un des plus grands médecins en chirurgie cardiaque atteste que je suis un miraculé de la médecine, et que je suis le seul à être sorti vivant d’une hémorragie méningée massive du tronc cérébral. Et il cite un de ses éminents confrères neurophysiologistes qui estime que mon cas confine au paranormal. Il a certainement voulu dire surnaturel.

Dans le DVD, trois médecins attestent de la réalité de mon cas. Dans le DVD de l’émission du 16 mai 2013 de télévision sur France 2, le médecin engagé par la chaîne pour vérifier les dossiers médicaux me dit que je suis un miraculé.

Merci Jésus !

Guy