Roselyne

La maladie ne vient pas de Dieu

Je m’appelle Roselyne et j’ai 73 ans. Je connais le Seigneur depuis l’âge de 40 ans.

Autrefois, j’étais catholique par tradition. J’allais à la messe pour faire plaisir à mes parents, mais ensuite j’ai tout abandonné. J’ai subi pas mal d’épreuves dans ma vie, je cherchais à combler un vide en moi et je me tournais vers tout ce qu’il ne fallait pas. Et notamment vers l’occultisme. J’ai été consulté des magnétiseurs, des voyants, etc.

 

Premiers pas dans l’église

Suite à mon divorce, j’ai déménagé et me suis installée dans le sud de la France, à Nice. J’étais loin de ma famille et de mes enfants. Plus je consultais de voyants, plus j’allais mal, cela créait de mauvaises choses dans ma vie. Mon fils était très malade et un jour, une collègue m’a parlé du Seigneur et m’a dit qu’il pouvait le guérir. Pour lui faire plaisir, je suis allée à l’église. Elle m’a donné une Bible que je dissimulais chez moi pour que personne ne la voie. Ça ne m’intéressait pas trop. Tout l’hiver, ma collègue m’a emmenée à l’église, puis elle ne me l’a plus proposé. Comme tout cela ne me touchait pas, je n’ai pas cherché à aller plus loin.

Mais un dimanche, sans savoir pourquoi, j’ai eu envie d’aller à l’église. J’y suis allée avec mon fils. Je me sentais très en colère et je suis repartie en plein milieu du culte ! Pourtant, j’y suis retournée le dimanche suivant. À partir de là, j’ai continué à aller aux cultes et aux réunions. Je sentais que j’avais besoin d’aller à l’église. Je me sentais bien, soulagée, et je pleurais.

Quant à mon fils, il a été guéri du jour au lendemain. Je n’ai pas réalisé que c’était lié aux prières de l’église et et au fait que je voyais de moins en moins le guérisseur.

 

Guérie de la solitude

J’ai eu envie de me faire baptiser. Comme je vivais en concubinage, j’ai dû rompre avec l’homme avec lequel je vivais. J’ai été baptisée le 13 mai 1987 et j’ai reçu le Saint-Esprit le lendemain lors d’une réunion de prière.

La solitude m’a longtemps pesée et me conduisait à chuter régulièrement. Mais le Seigneur ne m’a jamais lâchée. Et malgré tout, je continuais à aller à l’église. Et je lisais la Bible.

Un jour, j’ai reçu la paix de Dieu et j’ai compris que seul Dieu pouvait nous l’apporter. Et que lui seul pouvait combler ma solitude. De plus, je me suis toujours sentie bien entourée, même lorsque j’ai dû subir une opération, par exemple.

 

La guérison physique est un fait accompli

Il y a trois ans, j’ai fait un AVC. J’ai perdu la vue d’un œil, les médecins m’avaient prévenue qu’il me faudrait une année pour me rétablir. Or, au bout de quatre mois, j’étais sur pied. Je me suis remise très vite de mes opérations. C’est là que j’ai découvert que Dieu guérissait.

Avant d’être croyante, j’allais voir les guérisseurs pour être soignée, mais également pour apprendre. J’essayais d’imposer les mains et cette pratique altérait ma santé, ma vie. Mais avec le Seigneur, sachant que la maladie ne vient pas de Dieu, et que Dieu est bon, j’ai été enseignée sur la guérison. J’ai reçu des convictions très fortes.

 

La guérison n’est pas seulement une promesse, c’est un fait accompli à la croix. Et Dieu nous a donné l’autorité pour chasser la maladie.

Je vous recommande de tout cœur à faire de Dieu votre puissant médecin et à laisser tomber au plus vite l’occultisme – consultation et pratique – qui crée tant de dégâts dans les vies. Dieu est celui qui guérit. Demandez-lui d’intervenir dans votre être tout entier quelle que soit votre maladie ou souffrance. Et il agira.

 

Roselyne

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