Denys Gerbore

Le TAILLAN MEDOC, France

J'étais atteint d'un fibrome naso-pharyngien

Je m’appelle Denis, je suis marié à une femme extraordinaire et nous avons trois enfants (deux garçons et une fille) et aujourd'hui 2 petits enfants.

Elevé dans une famille très croyante, l’environnement de mon enfance était vraiment sympa. J’allais à l’église avec mes parents et souvent j’avais envie d’écouter Dieu.

La religion ne change pas une personne

A l’âge de 17 ans, j’étais en pleine forme physique, j’aimais le sport et le goût du risque et dans tout ce que je faisais, j’y allais à fond. Je profitais de la vie adolescente avec mes quatre frères mais j’allais toujours beaucoup à l’église et Dieu m’a demandé de faire un choix. Il me dit: ”Denys, tu sais, dans la vie, il y a deux choix: le premier paraît facile: tu profites de ta vie à fond, tu t’amuses, il y a les filles, l’alcool et tout le reste mais ce n’est pas le bon chemin car il ne mène nulle part. Le second, tu aimes tes amis, tu les respectes, tu fais du bien autour de toi et tu écoutes quand je te parles et tu  mets mes paroles en pratique. C’est  le bon chemin, la voie de la vie. Je voulus donc prendre la bonne direction mais à cet âge là, les décisions ne durent pas très longtemps.

J’aimais donc écouter la Parole mais je continuais à faire des bêtises.

Je saigne toute la journée du nez

Un jour, alors que j’étais en classe, je me suis mis à saigner abondamment du nez.. Cela s’était déjà produit à plusieurs reprises, le matin en me levant Je n’y comprenais rien. Que m’arrivait -il donc ?  Avec mes parents, nous décidâmes d'aller consulter un spécialiste pour savoir ce qu'il en était exactement . Après plusieurs analyses, le médecin déclara que j’étais atteint d'un fibrome rhinopharyngé mais  Il n’a pas su  dire si ce fibrome était cancéreux  et décida de m'envoyer voir le professeur Portman à Bordeaux,  grand spécialiste des pathologies othorhynolaryngologiques. Pour lui, j’étais un cas extrêmement rare:

En fait, c’est une glande qui pousse anormalement à l'adolescence.

Pendant cette période d’incertitude, une certain malaise s'installa dans mes pensées . Je n’étais plus aussi dynamique et je perdais mon enthousiasme dans mes comportements . J'attendais ne sachant trop ce qui allait  m'arriver .

Alors, avec mes parents, nous décidâmes de prier DIEU pour que je sois guéri , car nous y croyions vraiment mais rien ne se passait et les docteurs disaient à mes parents qu'il fallait m'opérer . N'étant jamais entré dans un hôpital jusqu'alors, la crainte continua de m'envahir.

Je fais le point avec Dieu

C'est alors que je décidai de faire le point avec DIEU. Je devais recevoir les résultats d'analyse le lendemain. Même jeune, DIEU me faisait comprendre qu'il fallait que je suive le chemin plus étroit qui paraissait difficile mais qui me donnerait  bien plus de joie et de paix ce dont j'avais besoin tous les jours de ma vie . Il me dit alors: j'aurai pu te guérir , mais tu ne m'aurai pas écouté. Je veux te montrer que je peux être avec toi tous les jours de ta vie même dans les moments les plus dififciles . Je lui dis tout simplement OK mon DIEU,  je veux suivre ce chemin avec toi, aide moi à te suivre. A partir de ce moment  de ma vie, DIEU m'a inondé d'une paix merveilleuse qui n’est plus jamais partie.

Le lendemain, après analyse, j’apprenais que le fibrome n'était pas cancéreux . Alors s'ensuivit une grosse opération avec un trou dans le palais pour enlever le fibrome. Il y a eu beaucoup de fils  mais DIEU était là dans mon coeur et la paix ne me quittait pas.

Une paix qui demeure

Aujourd'hui, le constat dure. La paix est réelle dans mon coeur tous les jours de ma vie et elle ne me quitte pas. Dans toutes les décisions importantes que j'ai eu à prendre comme la perte du travail,  la maladie de mon épouse, un ZONA  où  des situations financières difficiles , la PAIX que donne DIEU ne m’a jamais quitté . Souvent, dans mon milieu professionnel, les gens se moquaient de moi mais les collègues étaient bien obligés de constater que la joie ne me quittait pas .

Aujourd'hui, quand j'allume la radio ou la télé et que j'entends que le monde vit dans l'anxiété du lendemain, je réalise combien ma décision  était bonne, ce jour là, à l'hôpital, en décidant de suivre le chemin de DIEU.

SI tu veux expérimenter cette PAIX, fais comme moi, donne ta vie au Seigneur Jésus. Tu peux me contacter.

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